Like a black light poster come to life, a group of bioluminescent fungi collected from Ribeira Valley Tourist State Park near São Paulo, Brazil, emanates a soft green glow when the lights go out. The mushrooms are part of 5 the genus Mycena, a group that includes about 500 species worldwide. Of these only 33 are known to be bioluminescent — capable of producing light through a chemical reaction. Since 2002, Cassius Stevani, professor of Chemistry 10 at the University of São Paulo, Dennis Desjardin, professor of mycology at San Francisco State University in California, and Marina Capelari of Brazil’s Institute of Botany have discovered 10 more bioluminescent fungi species — four of which are new to science — in Brazil’s 15 tropical forests. The work, Stevani says, has increased the number of glowers known since the 1970s by 30 percent.
In addition to mushrooms, a variety of marine animals, select species of bacteria, insects, and annelids 20 (earthworms) are known to be bioluminescent. Bioluminescence creates “cold” light — emissions with low thermal radiation. An enzyme called luciferase triggers a pigment called luciferin to oxidize, and the reaction emits light. But why the fungi evolved to glow 25 this way remains a mystery, Stevani says. To get the green glow of the new specimens of bioluminescent mushrooms, Dr Desjardin and Dr Stevani had to go out on new moon nights and stumble around in the forest, running into trees, while keeping an eye out for poisonous 30 snakes and prowling jaguars. Besides helping researchers decipher how and why mushrooms glow, Stevani is studying the bioluminescent fungi’s ability to signal the presence of toxins in the soil. In the lab, his team has developed a procedure that 35 shows that fungi emit less light when exposed to several metals and organic pollutants. “In a near future we can use it to evaluate the toxicity of environmental samples of soil and sediments,” Stevani said in an email to National Geographic News. The researcher also says 40 that the fungi could serve as a tool for bioremediation (cleanup using living organisms) of contaminated soil.
New glowing mushrooms found in Brazil. Disponível em: . Acesso em:
The expression “keeping an eye out for” (l. 29) is nearest in meaning to
(UEFS - 2012)
Like a black light poster come to life, a group of bioluminescent 1fungi collected from Ribeira Valley Tourist State Park near São Paulo, Brazil, emanates a soft green glow when the lights go out. The mushrooms are part of 5 the genus Mycena, a group that includes about 500 species worldwide. Of 2these only 33 are known to be bioluminescent — capable of producing light through a chemical reaction. Since 2002, Cassius Stevani, professor of Chemistry 10 at the University of São Paulo, Dennis Desjardin, professor of mycology at San Francisco State University in California, and Marina Capelari of Brazil’s Institute of Botany have discovered 10 more bioluminescent fungi species — four of which are new to science — in Brazil’s 15 tropical forests. The work, Stevani says, has increased the number of glowers known since the 1970s by 30 percent.
In addition to mushrooms, a variety of marine animals, select species of 3bacteria, insects, and annelids 20 (earthworms) are known to be bioluminescent. Bioluminescence creates “cold” light — emissions with low thermal radiation. An enzyme called luciferase triggers a pigment called luciferin to oxidize, and the reaction emits light. But why the fungi evolved to glow 25 4this way remains a mystery, Stevani says. To get the green glow of the new specimens of bioluminescent mushrooms, Dr Desjardin and Dr Stevani had to go out on new moon nights and stumble around in the forest, running into trees, while keeping an eye out for poisonous 30 snakes and prowling jaguars. Besides helping researchers decipher how and why mushrooms glow, Stevani is studying the bioluminescent fungi’s ability to signal the presence of 5toxins in the soil. In the lab, his team has developed a procedure that 35 shows that fungi emit less light when exposed to several metals and organic pollutants. “In a near future we can use it to evaluate the toxicity of environmental samples of soil and sediments,” Stevani said in an email to National Geographic News. The researcher also says 40 that the fungi could serve as a tool for bioremediation (cleanup using living organisms) of contaminated soil.
New glowing mushrooms found in Brazil. Disponível em: . Acesso em:
The only singular word is in alternative
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On les trouve à l’entrée des hôpitaux, sur le parvis des mairies, à proximité des églises ou dans des rues très fréquentées. De loin, elles ressemblent à de larges coffre-forts vitrés, souvent peints en jaune vif. À l’intérieur, 5 un lit autochauffant, une caméra, et un signal d’alarme relié au centre de soins le plus proche. Sur la porte, un mode d’emploi rudimentaire indique comment ouvrir le coffre, y déposer son bébé, puis le refermer. Au moyen-âge, on les appelait les “tours 10 d’abandon”. Aujourd’hui, les “boîtes à bébés”. Destinées aux parents en détresse qui veulent abandonner leur nouveau-né dans l’anonymat absolu, ces boîtes se multiplient en Europe, à tel point que les Nations Unies tirent la sonnette d’alarme. 15 Le système avait disparu depuis plus d’un siècle en Europe. Mais la médiatisation de faits divers glaçants, comme l’abandon de nouveaux-nés dans des poubelles, a remis au goût du jour cette pratique qui semblait d’un autre temps. L’Allemagne a été la première à réintroduire 20 le mécanisme en avril 2000. Depuis, dix autres pays européens l’ont adopté, comme l’Italie, la Suisse ou encore la Pologne. Aujourd’hui, plusieurs centaines de « boîtes à bébés » sont installées sur le Vieux continent. Le fonctionnement est simple. Dans la plupart des 25 pays qui utilisent ce système, le parent qui abandonne son enfant dans une de ces “boîtes” a huit semaines pour revenir sur sa décision. Les services hospitaliers vérifient son identité grâce aux empreintes digitales prélevées sur le nouveau-né. Passé ce délai, une 30 procédure d’adoption classique est enclanchée, tandis que l’État devient légalement responsable de l’enfant.
CHABAS, Charlotte. En Europe, les “boîtes à bébés” se multiplient. Disponível em:
Lexique
“parvis” (l. 1): adro.
“mairies” (l. 2): prefeituras.
“peints” (l. 4): pintados.
“lit autochauffant” (l. 5): leito autoaquecido.
“centre de soins” (l. 6): centro de atendimento.
“en détresse” (l. 11): em desespero.
“poubelles” (l. 17): latas de lixo.
Selon le texte, les “boîtes à bébés”
On les trouve à l’entrée des hôpitaux, sur le parvis des mairies, à proximité des églises ou dans des rues très fréquentées. De loin, elles ressemblent à de larges coffre-forts vitrés, souvent peints en jaune vif. À l’intérieur, 5 un lit autochauffant, une caméra, et un signal d’alarme relié au centre de soins le plus proche. Sur la porte, un mode d’emploi rudimentaire indique comment ouvrir le coffre, y déposer son bébé, puis le refermer. Au moyen-âge, on les appelait les “tours 10 d’abandon”. Aujourd’hui, les “boîtes à bébés”. Destinées aux parents en détresse qui veulent abandonner leur nouveau-né dans l’anonymat absolu, ces boîtes se multiplient en Europe, à tel point que les Nations Unies tirent la sonnette d’alarme. 15 Le système avait disparu depuis plus d’un siècle en Europe. Mais la médiatisation de faits divers glaçants, comme l’abandon de nouveaux-nés dans des poubelles, a remis au goût du jour cette pratique qui semblait d’un autre temps. L’Allemagne a été la première à réintroduire 20 le mécanisme en avril 2000. Depuis, dix autres pays européens l’ont adopté, comme l’Italie, la Suisse ou encore la Pologne. Aujourd’hui, plusieurs centaines de « boîtes à bébés » sont installées sur le Vieux continent. Le fonctionnement est simple. Dans la plupart des 25 pays qui utilisent ce système, le parent qui abandonne son enfant dans une de ces “boîtes” a huit semaines pour revenir sur sa décision. Les services hospitaliers vérifient son identité grâce aux empreintes digitales prélevées sur le nouveau-né. Passé ce délai, une 30 procédure d’adoption classique est enclanchée, tandis que l’État devient légalement responsable de l’enfant.
CHABAS, Charlotte. En Europe, les “boîtes à bébés” se multiplient. Disponível em:
Lexique
“parvis” (l. 1): adro.
“mairies” (l. 2): prefeituras.
“peints” (l. 4): pintados.
“lit autochauffant” (l. 5): leito autoaquecido.
“centre de soins” (l. 6): centro de atendimento.
“en détresse” (l. 11): em desespero.
“poubelles” (l. 17): latas de lixo.
D’après le texte, le parent qui abandonne son enfant
On les trouve à l’entrée des hôpitaux, sur le parvis des mairies, à proximité des églises ou dans des rues très fréquentées. De loin, elles ressemblent à de larges coffre-forts vitrés, souvent peints en jaune vif. À l’intérieur, 5 un lit autochauffant, une caméra, et un signal d’alarme relié au centre de soins le plus proche. Sur la porte, un mode d’emploi rudimentaire indique comment ouvrir le coffre, y déposer son bébé, puis le refermer. Au moyen-âge, on les appelait les “tours 10 d’abandon”. Aujourd’hui, les “boîtes à bébés”. Destinées aux parents en détresse qui veulent abandonner leur nouveau-né dans l’anonymat absolu, ces boîtes se multiplient en Europe, à tel point que les Nations Unies tirent la sonnette d’alarme. 15 Le système avait disparu depuis plus d’un siècle en Europe. Mais la médiatisation de faits divers glaçants, comme l’abandon de nouveaux-nés dans des poubelles, a remis au goût du jour cette pratique qui semblait d’un autre temps. L’Allemagne a été la première à réintroduire 20 le mécanisme en avril 2000. Depuis, dix autres pays européens l’ont adopté, comme l’Italie, la Suisse ou encore la Pologne. Aujourd’hui, plusieurs centaines de « boîtes à bébés » sont installées sur le Vieux continent. Le fonctionnement est simple. Dans la plupart des 25 pays qui utilisent ce système, le parent qui abandonne son enfant dans une de ces “boîtes” a huit semaines pour revenir sur sa décision. Les services hospitaliers vérifient son identité grâce aux empreintes digitales prélevées sur le nouveau-né. Passé ce délai, une 30 procédure d’adoption classique est enclanchée, tandis que l’État devient légalement responsable de l’enfant.
CHABAS, Charlotte. En Europe, les “boîtes à bébés” se multiplient. Disponível em:
Lexique
“parvis” (l. 1): adro.
“mairies” (l. 2): prefeituras.
“peints” (l. 4): pintados.
“lit autochauffant” (l. 5): leito autoaquecido.
“centre de soins” (l. 6): centro de atendimento.
“en détresse” (l. 11): em desespero.
“poubelles” (l. 17): latas de lixo.
Selon l’auteur, le retour de cette pratique se doit à
On les trouve à l’entrée des hôpitaux, sur le parvis des mairies, à proximité des églises ou dans des rues très fréquentées. De loin, elles ressemblent à de larges coffre-forts vitrés, souvent peints en jaune vif. À l’intérieur, 5 un lit autochauffant, une caméra, et un signal d’alarme relié au centre de soins le plus proche. Sur la porte, un mode d’emploi rudimentaire indique comment ouvrir le coffre, y déposer son bébé, puis le refermer. Au moyen-âge, on les appelait les “tours 10 d’abandon”. Aujourd’hui, les “boîtes à bébés”. Destinées aux parents en détresse qui veulent abandonner leur nouveau-né dans l’anonymat absolu, ces boîtes se multiplient en Europe, à tel point que les Nations Unies tirent la sonnette d’alarme. 15 Le système avait disparu depuis plus d’un siècle en Europe. Mais la médiatisation de faits divers glaçants, comme l’abandon de nouveaux-nés dans des poubelles, a remis au goût du jour cette pratique qui semblait d’un autre temps. L’Allemagne a été la première à réintroduire 20 le mécanisme en avril 2000. Depuis, dix autres pays européens l’ont adopté, comme l’Italie, la Suisse ou encore la Pologne. Aujourd’hui, plusieurs centaines de « boîtes à bébés » sont installées sur le Vieux continent. Le fonctionnement est simple. Dans la plupart des 25 pays qui utilisent ce système, le parent qui abandonne son enfant dans une de ces “boîtes” a huit semaines pour revenir sur sa décision. Les services hospitaliers vérifient son identité grâce aux empreintes digitales prélevées sur le nouveau-né. Passé ce délai, une 30 procédure d’adoption classique est enclanchée, tandis que l’État devient légalement responsable de l’enfant.
CHABAS, Charlotte. En Europe, les “boîtes à bébés” se multiplient. Disponível em:
Lexique “parvis” (l. 1): adro.
“mairies” (l. 2): prefeituras.
“peints” (l. 4): pintados.
“lit autochauffant” (l. 5): leito autoaquecido.
“centre de soins” (l. 6): centro de atendimento.
“en détresse” (l. 11): em desespero.
“poubelles” (l. 17): latas de lixo.
L’information sur les “boîtes” inexistante dans le texte est leur
On les trouve à l’entrée des hôpitaux, sur le parvis des mairies, à proximité des églises ou dans des rues très fréquentées. De loin, elles ressemblent à de larges coffre-forts vitrés, souvent peints en jaune vif. À l’intérieur, 5 un lit autochauffant, une caméra, et un signal d’alarme relié au centre de soins le plus proche. Sur la porte, un mode d’emploi rudimentaire indique comment ouvrir le coffre, y déposer son bébé, puis le refermer. Au moyen-âge, on les appelait les “tours 10 d’abandon”. Aujourd’hui, les “boîtes à bébés”. Destinées aux parents en détresse qui veulent abandonner leur nouveau-né dans l’anonymat absolu, ces boîtes se multiplient en Europe, à tel point que les Nations Unies tirent la sonnette d’alarme. 15 Le système avait disparu depuis plus d’un siècle en Europe. Mais la médiatisation de faits divers glaçants, comme l’abandon de nouveaux-nés dans des poubelles, a remis au goût du jour cette pratique qui semblait d’un autre temps. L’Allemagne a été la première à réintroduire 20 le mécanisme en avril 2000. Depuis, dix autres pays européens l’ont adopté, comme l’Italie, la Suisse ou encore la Pologne. Aujourd’hui, plusieurs centaines de « boîtes à bébés » sont installées sur le Vieux continent. Le fonctionnement est simple. Dans la plupart des 25 pays qui utilisent ce système, le parent qui abandonne son enfant dans une de ces “boîtes” a huit semaines pour revenir sur sa décision. Les services hospitaliers vérifient son identité grâce aux empreintes digitales prélevées sur le nouveau-né. Passé ce délai, une 30 procédure d’adoption classique est enclanchée, tandis que l’État devient légalement responsable de l’enfant.
CHABAS, Charlotte. En Europe, les “boîtes à bébés” se multiplient. Disponível em:
Lexique
“parvis” (l. 1): adro.
“mairies” (l. 2): prefeituras.
“peints” (l. 4): pintados.
“lit autochauffant” (l. 5): leito autoaquecido.
“centre de soins” (l. 6): centro de atendimento.
“en détresse” (l. 11): em desespero.
“poubelles” (l. 17): latas de lixo.
Les pronoms transcrits se réfèrent aux expressions à droite, à l’exception de
On les trouve à l’entrée des hôpitaux, sur le parvis des mairies, à proximité des églises ou dans des rues très fréquentées. De loin, elles ressemblent à de larges coffre-forts vitrés, souvent peints en jaune vif. À l’intérieur, 5 un lit autochauffant, une caméra, et un signal d’alarme relié au centre de soins le plus proche. Sur la porte, un mode d’emploi rudimentaire indique comment ouvrir le coffre, y déposer son bébé, puis le refermer. Au moyen-âge, on les appelait les “tours 10 d’abandon”. Aujourd’hui, les “boîtes à bébés”. Destinées aux parents en détresse qui veulent abandonner leur nouveau-né dans l’anonymat absolu, ces boîtes se multiplient en Europe, à tel point que les Nations Unies tirent la sonnette d’alarme. 15 Le système avait disparu depuis plus d’un siècle en Europe. Mais la médiatisation de faits divers glaçants, comme l’abandon de nouveaux-nés dans des poubelles, a remis au goût du jour cette pratique qui semblait d’un autre temps. L’Allemagne a été la première à réintroduire 20 le mécanisme en avril 2000. Depuis, dix autres pays européens l’ont adopté, comme l’Italie, la Suisse ou encore la Pologne. Aujourd’hui, plusieurs centaines de « boîtes à bébés » sont installées sur le Vieux continent. Le fonctionnement est simple. Dans la plupart des 25 pays qui utilisent ce système, le parent qui abandonne son enfant dans une de ces “boîtes” a huit semaines pour revenir sur sa décision. Les services hospitaliers vérifient son identité grâce aux empreintes digitales prélevées sur le nouveau-né. Passé ce délai, une 30 procédure d’adoption classique est enclanchée, tandis que l’État devient légalement responsable de l’enfant.
CHABAS, Charlotte. En Europe, les “boîtes à bébés” se multiplient. Disponível em:
Lexique
“parvis” (l. 1): adro.
“mairies” (l. 2): prefeituras.
“peints” (l. 4): pintados.
“lit autochauffant” (l. 5): leito autoaquecido.
“centre de soins” (l. 6): centro de atendimento.
“en détresse” (l. 11): em desespero.
“poubelles” (l. 17): latas de lixo.
Selon le texte, l’alternative sans synonyme est
On les trouve à l’entrée des hôpitaux, sur le parvis des mairies, à proximité des églises ou dans des rues très fréquentées. De loin, elles ressemblent à de larges coffre-forts vitrés, souvent peints en jaune vif. À l’intérieur, 5 un lit autochauffant, une caméra, et un signal d’alarme relié au centre de soins le plus proche. Sur la porte, un mode d’emploi rudimentaire indique comment ouvrir le coffre, y déposer son bébé, puis le refermer. Au moyen-âge, on les appelait les “tours 10 d’abandon”. Aujourd’hui, les “boîtes à bébés”. Destinées aux parents en détresse qui veulent abandonner leur nouveau-né dans l’anonymat absolu, ces boîtes se multiplient en Europe, à tel point que les Nations Unies tirent la sonnette d’alarme. 15 Le système avait disparu depuis plus d’un siècle en Europe. Mais la médiatisation de faits divers glaçants, comme l’abandon de nouveaux-nés dans des poubelles, a remis au goût du jour cette pratique qui semblait d’un autre temps. L’Allemagne a été la première à réintroduire 20 le mécanisme en avril 2000. Depuis, dix autres pays européens l’ont adopté, comme l’Italie, la Suisse ou encore la Pologne. Aujourd’hui, plusieurs centaines de « boîtes à bébés » sont installées sur le Vieux continent. Le fonctionnement est simple. Dans la plupart des 25 pays qui utilisent ce système, le parent qui abandonne son enfant dans une de ces “boîtes” a huit semaines pour revenir sur sa décision. Les services hospitaliers vérifient son identité grâce aux empreintes digitales prélevées sur le nouveau-né. Passé ce délai, une 30 procédure d’adoption classique est enclanchée, tandis que l’État devient légalement responsable de l’enfant.
CHABAS, Charlotte. En Europe, les “boîtes à bébés” se multiplient. Disponível em:
Lexique
“parvis” (l. 1): adro.
“mairies” (l. 2): prefeituras.
“peints” (l. 4): pintados.
“lit autochauffant” (l. 5): leito autoaquecido.
“centre de soins” (l. 6): centro de atendimento.
“en détresse” (l. 11): em desespero.
“poubelles” (l. 17): latas de lixo.
Toutes les informations sur les termes transcrits sont correctes à l’exception de celle de l’alternative
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